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 Might like you better • Izabelka & Lev

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Lev A. Bajenov
Lev A. Bajenov

◮ POTINS : 35
◮ JE SUIS LA DEPUIS : 10/09/2011
◮ AGE : 20 ans
◮ EMPLOI : Mannequin
◮ SITUATION SOCIALE : Célibataire


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MessageSujet: Might like you better • Izabelka & Lev    Might like you better • Izabelka & Lev  EmptyLun 12 Sep - 7:14

Might like you better • Izabelka & Lev  722755bannyuri3

Photoshoot un peu tardif et pour cause : je semblais avoir tapé dans l'oeil de la photographe professionnelle qui avait fait des clichés de moi, sous tous les angles et dans différentes postures toute la sainte après midi. On ne dirait pas comme ça, mais être mannequin fatigue : rester debout pendant plusieurs heures d'affilée, dans des vêtements qu'on ne porterait jamais en temps normal. Je me voyais mal me ramener dans la rue à moitié torse nu, avec comme futal ce qui ressemblait de près ou de loin à une des espèces de jupe pantalon que pouvait porter les japonais il y a de ça quatre siècles. Ouais même eux avaient semblé tourné la page sur la ligne tissus qui te font ressembler à une nana. C'est classe quand t'as un sabre entre les mains et que tu t'apprêtes à faire la guerre au clan adverse, quitte à continuer à main nue quand tu te viandes magistralement sur le champ de bataille et que tu dois continuer au nom de l'empereur soleil. Au vingt et unième siècle par contre, c'était tout sauf in de te ramener comme ça dans les supers marchés ou autre. Je passe dans la rue dans cet accoutrement, cinq minutes après t'as les flics qui rappliquent pour m'emmener au trou ou à l'asile, au choix. L'hyposthèse du mec qui avait fait une putain de fête, celui qui avait perdu un pari, ou le type trop high et complétement taré qui te faisait un remake du dernier samouraï en plein rue de Prague. Pas certain que les mamies me laissent les approcher, ni même que j'arrive à tirer une nana dans un bar avec ma jupette à franges et motifs fleuris. Enfin, la photographe semblait loucher sur les lys dessinés en fil dorés sur le velours. Perché elle aussi, peut être une sorte de fantasme bizarre et quasi inavoué, de se taper le combattant des steppes dans sa tenue de guerrier. Allez savoir. De toute façon, les vêtements avaient vite volé une fois le dernier clic de l'appareil entendu.

T shirt et jean basiques ré enfilés, je jette un coup d'œil à la photographe, qui se bat avec son soutien gorge pour le ré agrafer. Je lui proposerais bien de l'aider, mais ça équivaudrait à remettre ça. Fatigue et ennui profond de la nana, j'avais autre chose à faire ce soir. Ou mieux en tout cas, restait simplement à trouver quoi. Rentrer directement à mon appartement pour retrouver mon colocataire Lalli ? Ouais, en dernier recours. Traîner dans un bar et promettre le rêve bleu à la première paire de seins qui se trouvera sur mon passage sinon. Main glissée dans mon sac, j'attrape mon paquet de clopes et mon portable. Fait chier, vide, pas d'amis sûrement ou tous occupés je ne sais où. Rien de prévu, l'idée de rentrer à l'appart semble la plus envisageable. Je cale une marlboro entre mes lèvres, sort un briquet pour embraser le bout de la clope, tirant ensuite une longue latte dessus. Miss photo se redresse enfin, enfilant sa robe directement. Remettre son soutien gorge n'était plus d'actualité. « On ne fume pas dans mon studio. » Relax ma biche. Le fait que je me barre sans demander mon reste devait lui rester en travers de la gorge. Payé pour un shoot seulement, pas pour me trimbaler la photographe toute une semaine. « On ne baise pas non plus dans ton studio. » Sourcil arqué et sourire moqueur, elle ferme sa gueule, laissant échapper un soupir en levant le bras pour m'indiquer la porte. Baiser imaginaire envoyé dans sa direction, je retrouve rapidement l'air libre des rues de Prague. Nuit, génial, obligé de prendre un taxi. Ou … Le studio de la photographe n'était pas loin de l'appartement d'une amie mannequin, Iza, que je n'avais pas vu depuis un bail maintenant. Une semaine, la belle histoire. Décidé, j'allonge le pas vers l'immeuble d'Iza, tirant sur ma clope comme une putain de bouffée d'oxygène. En espérant qu'elle soit là, sinon c'était se retrouver comme un con en plein milieu de rue. Génial, retour à la case départ si c'était le cas, à me demander comment j'allais pouvoir occuper ma journée. Arrivé dans l'immeuble, je pousse la porte du hall et grimpe quatre à quatre les marches de l'escalier jusqu'à la porte du loft d'Izabelka. Trois coups frappés, ça devrait suffir à la faire venir. Dernière latte tirée sur ma marlboro, je frôle le mégot, balançant le tout non loin de la porte, et j'emmerde celui qui viendra me faire un procès pour tabagisme non autorisé.
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Z. Izabelka Afanassiev
Z. Izabelka Afanassiev
izabelka ϟ shoot some heroin and fuck with the stars

◮ POTINS : 141
◮ JE SUIS LA DEPUIS : 10/09/2011
◮ EMPLOI : mannequin
◮ SITUATION SOCIALE : célibataire et est-ce que je me plains ? Non. Alors viens pas m'embêter avec ça.


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ϟ RELATIONS:
ϟ THINGS TO DO:
ϟ HUMEUR: Heureux/Heureuse

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MessageSujet: Re: Might like you better • Izabelka & Lev    Might like you better • Izabelka & Lev  EmptyMer 14 Sep - 13:45


«MIGHT LIKE YOU BETTER »
FT. LEV ALEKSEI BAJENOV - ZELM­ÍRA IZABELKA AFANASSIEV

    Journée de merde. Sérieusement, je ne pouvais pas vivre une journée aussi moche que ça. Premièrement, déjà en partant, je devais me lever tôt. Extrêmement tôt. S'il y a une chose que je déteste au plus haut point, c'est ça. Alors, imaginez-moi, debout à six heures du matin. Pour moi, tout ce qui est en bas de midi, c'est trop tôt. Ce n'est pas tout, bien sûr que non ! J'ai seulement quatre heures de sommeil dans le corps. Hier, je suis rentrée chez moi à deux heures du matin. Pire, je me suis réveillée avec la gueule de bois, j'avais trop bu la veille et un gros mal de crâne insupportable s'ajoutait à la liste. J'aurais bien fait comme monsieur et madame tout le monde. C'est-à-dire, prendre le téléphone, appeler mon patron et dire '' Désolée, je suis malade ''. Dans mon monde, on ne pouvait pas faire ça. Malade où pas, on n'avait pas le choix de travailler. Je ne pouvais pas abandonner comme ça, mon photographe pour qui je posais pour un contrat important. C'était une journée importante aujourd'hui et malheureusement, je n'étais pas en état de le faire. J'adore ce que je fais ! Je suis toujours motivée et je sais qu'il y a un million de fille partout dans le monde prêt à me tuer pour faire ce que je fais si bien. Étrangement, pour aujourd'hui seulement, j'aurais étrangement souhaités qu'une fille bête comme ses pieds qui ne connaissent rien au mannequinât viennent me tuer pour prendre la place. Bon, assez rêvasser. J'étais seule dans mon lit à rêvasser et l'idée de passer devant le miroir me troublait. Je ne voulais pas voir ma tête, mes cheveux ébouriffés et surtout, mon teint vert malade. Après tout, il fallait que lève mon joli petit cul ferme pour aller manger. En parlant d'alimentation, je fais toujours très attention à ce que je mange. Je dois respecter un nombre de calories par jour et je ne dois pas les dépasser. C'est ma nutritionniste qui m'a fait un menu spécial pour être certaine que je mange bien et que je garde ma forme. Pas question de prendre une ou deux livres. Déjà, juste à y penser, ça me dégoûtait. Quand on est mannequin comme moi, tout doit être parfait de la tête au pied. Aucun défaut, juste la perfection. Ce n'est pas facile, mais j'y arrive, comme la plupart des autres mannequins qui bosse dans la même agence que moi. En mettant le pied hors du lit, je me dirigeais vers la cuisine pour manger un petit quelques choses, histoire de me donner quelques forces. Une banane. Pourquoi pas ? C'était pas beaucoup, mais ça respectait mon menu. J'avais droit à plus, bien sûr, mais je n'avais pas l'intention de trop manger. J'avais déjà l'estomac fragile alors, imaginez la suite si je mangeais trop... Ouais, ce n'est pas de belles images, je l'admets. Après avoir mangée ma banane, j'avais encore une petite place pour un petit quelques choses pas trop consistant, mais je ne voulais pas trop imposer de trucs à mon estomac. Inconsciemment, je passais devant un miroir. Je ne pouvais pas m'empêcher de me regarder. Ouf ! Pour être franche, j'avais déjà vu mieux. Mon teint était vert, comme je l'avais prévu et mes cheveux, était pas si pire. Légèrement mêlée, mais ça pouvait largement faire l'affaire. Je n'avais pas besoin de mettre du maquillage sur mon visage ou encore, sur mes lèvres et sur mes yeux. Là-bas, il y avait des maquilleurs et des maquilleuses qui s'occupaient de moi avant la séance photo. Pour mes cheveux, il y avait aussi des coiffeurs et des coiffeuses. Je n'avais donc pas besoin de passer de longues minutes devant mon miroir avec mes produits cosmétiques et mon fer à lisser. Une chose de moins à faire, super. Je n'avais pas non plus l'envie de m'habiller super bien. J'avais aussi des kit de vêtements pour cette fameuse séance de photo alors, dans mon dressing, un simple jeans et un simple t-shirt allait faire l'affaire.

    Dans la voiture, j'ai failli vomir deux fois. Beurk. J'avais presque le goût de me foutre les doigts au fond de la gorge pour me faire vomir pour de bon pour être une fois débarrassé de mes maux de coeurs que je pouvais bien sentir, mais c'était un peu dégueulasse. Je n'aimais pas faire ça, ce geste m'a toujours dégoûtée. Je plaints sérieusement les anorexiques qui ont à faire ce genre. Juste à y penser, une envie de vomir refaisait surface. J'étais désormais rendue à trois fois. Bon sang, je devais vraiment me débarrasser de ce mal de coeur avant de me rendre à l'agence. Imaginez un peu si je me décide à faire tout sortir devant les caméras. Ma réputation allait en prendre un méchant coup et j'aurais la honte de ma vie. Des incidents de ce genre pouvaient très bien arriver, mais je ne voulais absolument pas que ça m'arrive. Je pouvais aussi bien dire adieu à ma carrière. J'exagère peut-être un peu, mais quand même. Il y a des langues de vipères parmi mes collègues de travail et elles peuvent très bien briser ta carrière en mille morceaux si elles le veulent. Croyez-moi, le monde de la mode est un milieux féroce même si ça n'a l'air de rien et je tenais à ma carrière. La mode, c'est ma vie. Je ne pourrai pas vivre sans ça. Soudainement, je me souvenais d'avoir avec moi, des comprimés contre la nausée. Pourquoi pas en prendre un ? Après tout, je ne vois pas en quoi ce petit médicament pourrait m'affecter. J'aurais dû lire la notice qui avait sur l'emballage. La notice disait que le médicament contenait un ingrédient qui pouvait faire dormir et affaiblir quelques facultés. Quelques minutes plus tard, je me sentais encore plus fatiguée qu'au réveille. Je le sentais, je le savais, la journée allait être terriblement longue et j'ignore comment je vais y faire face. Boire plusieurs cafés ? Mauvaise idée. J'avais déjà l'estomac à l'envers. Je pouvais voir l'agence au loin. J'étais déjà découragée et je n'avais même pas commencée à bosser.

    Une fois arrivée, je marchais rapidement la tête baissée pour être certaine que personne ne remarque mon teint hideux et mon allure de pute bon marché qui sort tout droit d'une boîte de nuit. Les salutations des membres du personnel, je les avais où ce que je le pense et bien profond. Peut-être que certains et certaines allait passer que je la joue '' diva '', mais ce n'était pas le cas. Qu'ils pensent qu'est-ce qu'ils pensent, je m'en fous. Les toilettes, je devais y aller immédiatement. Je voulais passer une bonne dose d'eau froide sur mon visage pour me réveiller et espérer un miracle pour effacer mon teint verdâtre. Au-dessus du lavabo des toilettes pour les femmes, je me passais à plusieurs reprises, de l'eau très froide sur mon visage. Je me regardais et déjà, j'avais l'air mieux. Je montais donc alors à l'étage où ma séance photo avait lieu et là où les maquilleuses m'attendaient. Pendant qu'elle s'occupait soigneusement de corriger mes imperfections sur mon visage, j'avais les yeux fermés histoire de me détendre un peu et m'enfoncer dans le crâne des ondes positives. Je ne voulais pas rater mes photos. Le contrat était important et si je l'obtenais, il allait me rapporter beaucoup et sincèrement, qui n'aime pas l'argent ? Je n'aimais pas la madame qui me maquillait aujourd'hui. Oui, madame est le terme exacte. Elle était vieille et toute ridées. N'empêche qu'elle était très talentueuse, mais bon. Si je me souviens bien, elle s'appellait Yvet. Elle à bien insister pour me dire qui faut le prononcer Yvette et non ''Yvai''. De plus, elle me racontait sa vie. Je sais même que chez elle, elle à deux chats nommées Caramel et Moka et qu'elle est divorcée depuis dix ans et depuis, elle n'a pas eu d'époux ou quelqu'un avec qui elle pouvait sortir de temps à autre. Sérieusement, j'en avais rien à foutre. Je luttais pour pas m'endormir et en guise de réponse, je hochais la tête et je la regardais d'une manière qui disait que je comprenais tout ce qu'elle disait. En gros, ta gueule mamie. Après une bonne demi-heure, j'étais prête. Je m'approchais du miroir pour voir si tout était parfait. Le maquillage camouflait à la perfection mon air de cancéreuse. Bref.

    Étrangement, sous les projecteurs, je brillais. Le photographe me soufflait des tonnes et des tonnes de compliment sur mes poses et mes expressions faciles. Pourtant, je me sentais comme si je faisais n'importe quoi. À la fin de cette séance photo, le photographe était très heureux. Il avait un magnifique sourire afficher sur son sourire et en guise d'encouragement et de félicitations, il applaudissait. Wow, hallucinant ! Enfin, tout était terminé et je pouvais maintenant rentrer chez moi pour dormir. Non, pas dormir, mais bien faire la grosse limace paresseuse dans mon lit. Oh cela oui ! En marchant vite, je me dirigeais vers la sortie. Je voulais à tout prix être chez moi le plus rapidement possible. C'était un bon début, car j'étais déjà dans ma voiture à rouler sur la route vers chez moi. Une fois les pieds dans mon loft luxueux construit sur deux étages, je me sentais libre et déjà, je me sentais détendu. Attendez de voir une fois rendu dans mon lit. Pas le temps de ranger un peu et de faire la vaisselle. Mon lit m'attendait avec grande impatience. J'avais foutu mon sac par terre devant la porte d'entrée et j'avais lâchement déposé mes clefs sur une petite table prévu à cet effet. Une fois débarrassée, je commençais à me déshabiller en marchant. D'abord, je m'étais attaquée à mon t-shirt qui se retrouvait rapidement par terre. Je me retrouvais seulement vêtue de mon soutien-gorge à dentelle noire un peu transparent. J'étais maintenant dans ma chambre et je regardais mon lit en souriant. J'enlevais rapidement mon pantalon pour dévoiler ma petite culotte qui s'agençait à mon soutien-gorge et d'un coup, j'étais sous la couette à dormir paisiblement. Évidemment, je ne me rendais pas compte du temps. Il était surement déjà vingt-deux heures. Je pensais rêver lorsque quelques choses me réveillait. On toquait à ma porte. Bordel, qui est-ce que ça pouvait bien être. Je n'avais pas vraiment envie de répondre, mais bon, il le fallait bien. Je ne me rhabillais pas complètement, j'avais pris un t-shirt noir ,col en v prononcé fait trop grand pour moi. Je le portais souvent la nuit lorsque je dormais où lorsque je n'avais pas le temps de m'habiller convenablement. Mon haut était maintenant caché par ce t-shirt, mais on voyait quand même la partie inférieur de mon corps. C'est-à-dire, mes jambes et une partie de ma petite culotte. Quoi, je n'étais pas gêner par quoi que ce soit. Comme on dit, je n'ai rien à cacher. J'étais maintenant rendu devant la porte que j'ouvrais rapidement avec les yeux à moité ouvert. Je ne savais pas que c'était Lev, un bon ami moi, qui était là. Hum, je peux savoir qu'est-ce que vous foutez chez moi à cette heure là ? Je passais ensuite ma main sur mon visage histoire de me réveiller un peu plus. Les yeux bien ouvert et mieux réveillée, j'avais pu voir que c'était Lev. Pour être franche, j'étais très heureuse de le voir. Ça faisait environ une semaine pour être exacte que je n'avais pas vu le charmant visage de Lev. En le voyant clairement, un sourire en coin se dessinait sur mon visage suivi d'un léger rire. Lev ! Je suis désolée, je ne pensais pas que c'était toi...

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