Je me nomme prénom,nom, je suis né(e) à prague, république tchèque, il y a 21 ans. Je suis tchèque, mais je possède quand même des origines au choix qui dont je suis très fière. Je suis célibataire. Je suis au choix. Le groupe auquel je souhaiterais appartenir est gucci, dans un premier temps..

Ϟ il est riche, extrêmement riche
Ϟ il à vécu un an en France
Ϟ il n'est pas français mais aime la culture française, a langue et Paris
Ϟ ce n'est pas le genre de mec fréquentable, il aime les plaisirs de la vie tels que la coke ou encore la vodka a outrance, le sexe etc... Enfin, vous avez compris.

---

MOI TOI NOUS

Prague, le 12 octobre 2010. Je ne vis plus, plus pour moi, mais pour lui. Ma vie lui appartient et j’aimerais tellement que ça dure, que ça dure longtemps, tout le temps. Je suis profondément amoureuse de cet homme et lui.. ? Je n’en sais rien, il me prends quand il en a envie et me jette, exactement comme je l’ai déjà fait bien souvent avec d’autres hommes mais lui… Ce n’est pas pareil. Un soir que je suis allongée dans mon lit à ses cotés, je me surprends à passer mes doigts sur son torse, seul geste tendre dont j’ai été un jour capable envers un homme. Je lève les yeux vers lui et je m’aperçoit qu’il dort, alors je me hisse doucement à califourchon sur lui et passe un doigt sur son torse, jusqu’au bas de son ventre, le regardant toujours avec une lueur de malice dans les yeux, quand enfin il ouvre les yeux. Il se redresse alors et je ne bouge pas, me retrouvant sur ces genoux et m’embrasse d’un baiser brulant de désir. J’en perds mon souffle et, encore une fois, mes draps sont témoins de nos furieux ébats.

Prague, le 20 octobre 2010. « Je t’aime. » Je me retourne vivement vers cet homme qui vient de me souffler les mots que j’attendais depuis si longtemps, j’en reste sans voix, le regardant d’abord d’un air sceptique je finis par l’embrasser tendrement. Il m’embrasse en retour et me relâche doucement. « Je pars. » et moi, je ne comprends pas, je le regarde se levé et enfiler son pantalon puis son t-shirt « Attends ! Où tu vas ?! » une fine grimace apparait sur ses traits, il à l’air contrarié « En France. » Et le monde s’écroula.