Je me nomme Evženek Ludvík Dvornikov, je suis né(e) à Prague, République Tchèque, il y a 20 ans. Je suis Tchèque, mais je possède quand même des origines russes qui dont je suis très fière. Je suis célibataire. Je suis mannequin. Le groupe auquel je souhaiterais appartenir est chanel.

Ϟ À sa naissance, le médecin avait annoncé aux parent d'Evženek qu'il avait une grave maladie du coeur et qu'il allait peut-être mourrir quelques semaines après cette même naissance. Heureusement, avec l'aide de nombreux traitements, il a été capable de s'en sortir et maintenant, il vit très bien et il n'a plus aucun problème au coeur

Ϟ Il a une soeur plus vieille de un ans. Elle se nomme -prénom au choix-. Evženek n'a pas toujours été très proche d'elle sauf à l'adolescence où ils ont mutuellement découvert leurs passion pour le mannequinat.

Ϟ À l'école secondaire, tout le monde pensait qu'il était homosexuelle et il à été victime d'intimidation pendant tout un trimestre. Il à déjà été proche de se suicider, mais sa soeur la remis sur les bonnes voies.

Ϟ Le reste est à inventé si vous le désiré ^^ Il faut notez que ça personnalité est un peu ''trash''.

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MOI TOI NOUS

Alors, t'as mon stock Dvornikov ? Nous étions dans un endroit sombre. Dans une ruelle pour être plus précise Je le regardais mettre la main dans son sac à dos aux allures vintage. Pendant qu'il fouillait à l'intérieur de se même sac, je regardais à l'entour de moi pour voir s'il n'y avait personne. Fais vite s'il te plaît, je me gèle le cul là ! Quoi, c'est vraie ! À l'extérieur, il faisait au moins cinq degrés celcius et je n'avais rien sur les épaules en plus, je ne voulais pas qu'on nous voit et qu'on nous suprennent la main dans le sac. Si jamais on était surprît, on pouvait tous les deux dire adieu à notre carrière dorée.Je connais un moyen de le réchauffer, tu sais ? Je n'aimais pas la remarque qu'il venait de faire. Elle était bourrée de sous-entendu. J'aimais bien le sexe, mais je ne me voyais pas dans les bras de mon dealer. Je le regardais donc avec un regard noir et j'ajoutais à ce regard, une moue dégoutée ce qui, quelques secondes après l'avait fait rire. T'inquiète petite princesse, je ne te toucherai pas. Pas ce soir du moins... Je ne trouvais pas ça drôle, mais lui, il aimait bien me taquiner et ça se voit sur son visage. Un magnifique sourire moqueur était installé sur ses lèvres et ses yeux en disaient long. Sa main attirait maintenant mon attention. Il sortait de sons sac à dos, un gros sac de ce que je voulais ; ma drogue. Il me le tendait vers moi pour que je puisse finalement le prendre et le mettre dans mon sac à moi sauf qu'au moment où j'approchais ma main de ce fameux sac bien rempli. Il le recula Hé ! Donne-moi ça, toute suite ! J'étais vraiment énervée maintenant. Il me faisait languir et je détestais ça ! Je voulais mon stuff le plus vite possible et partir. À une condition... Bon, ça y est. Que voulait-il. Coucher avec moi ? Je m'imaginais le pire. Pour obtenir ce que je voulais, j'étais toujours prête à tout. Même si je devais lui donner mon corps Qu'est-ce que tu veux encore ? Je pouvais voir qu'il hésitait. Il hésitait à dire quelques choses. Ça me faisait un peu peur. Il avait peut-être un service d'une grande importance à me demander, ou quelques choses de pire. Je déteste rendre service aux autres je dois toujours passer en premier peut importe la situation. Embrasse-moi. Avais-je bien entendu ? Il voulait que je l'embrasse. Et bah cela alors ! Je m'attendais à tout sauf ça. Je voulais être débarrassée au plus vite de cette tâche. Je m'étais donc rapidement approchée de son visage et je l'avais embrassée. Tout le monde allait être content. Il avait eu son baisé et moi, j'allais avoir mon stock. Maintenant, donne-moi tout. Il ramenait donc le sac vers moi pour que je puisse le prendre et le fourrer rapidement dans mon sac. J'avais enfin obtenu ce que je voulais et à cette même occasion, je souriais avec un air satisfait. Tu ne vas pas t'en tirer si rapidement beauté. Tu me dois 500 balles. Comme on dit, c'était du bon, du très bon. C'était la première fois que je le payais aussi cher pour de la drogue. Normalement, je dépensais cinquante ou même cent euros pour ça, mais là, c'était différent. T'es malade ou quoi ? 500 euros pour cette merde ? Je n'avais pas le choix de payer ce prix là. Je sortais donc mon portefeuille et je lui glissais dans les mains, vingt-cinq billets de vingt euros. Le prix du bonheur ma chérie, je te le garantis ! Il prenait donc, en me répondant, les vingts-cinq billets de vingt euros que je venais tout juste de lui remettre. J'ai bien hâte de voir cela ouais... Enfin ! Tout était terminé. Je pouvais enfin partir d'ici et rentrer chez moi. Je ne prenais même pas la peine de lui dire au revoir. Je lui tournais radicalement le dos pour partir dans la pénombre. Je me suis toujours posée cette question. Est-ce que la haine que j'avais pour lui allait un jour se transformer en amour ? Je n'en savais rien et je ne voulais pas le savoir.

p.s : il y a bel et bien une attirance subtile entre les deux ^^ Au fil du temps, ils vont finir par former un couple.