Je me nomme Gala Langeais, je suis née à Rennes, France, il y a vingt-quatre ans. Je suis française, mais je possède quand même des origines grecques dont je suis très fière. Je suis célibataire. Je suis journaliste. Le groupe auquel je souhaiterais appartenir est dior. On m'a déjà dit que je ressemblais à Amber Heard.

« Chérie, qu'est-ce que tu voudrais pour ton anniversaire ? » « Rien. En fait, tu ne peux rien m'offrir de ce que je veux. » répondit Gala, bientôt majeure, et quelque peu blasée de cette question. Elle restait toujours sans réponse, alors pourquoi continuait-elle de lui demander ? Pourquoi s'acharner à penser que sa fille changerait un jour et oublierait le gout qu'elle a pour le luxe ? Marie Langeais avait élevé seule sa fille unique, et elle l'avait fait du bon boulot : Gala était une jeune fille tout à fait charmante, avait des relations plus que fréquentables et était une bonne élève. Mais mère et fille avait un point de vue tout à fait différent sur le monde, sur l'argent, sur la mode.

Oh Gala n'a ni grandi dans le besoin ni dans l’opulence. En fait elle et sa mère sont, de ce qu'on appelle plus vulgairement, de la classe moyenne. On lui offrait ce qu'elle désirait, dans la limite du possible. Mais Gala, en grandissant, a commençé à réclamer toujours plus : de vêtements, de maquillage, de chaussures... Adolescente, légèrement clichée, qui rêve au 2.55 de Chanel, à la semelle rouge et sexy des Louboutins. Promod et Pimkie, elle connaît et elle déteste. C'est ringard. Gala, le sait, elle est faîte pour le luxe, pour les soirées mondaines et le champagne à flot. Ce qui, vu de son appartement trois pièces dans Rennes, semble inaccessible. Alors, elle se languit et pleure sur son sort. Parce qu'elle n'aura jamais la chance de porter de la haute-couture un jour. Et la vie est vraiment cruelle.

Parce que le plus grand rêve de cette jeune adolescente, c'est la vie de Sex & The City. C'est de pouvoir se payer des Manolo Blahnik, d'avoir un couloir en guise de dressing et boire des Cosmopolitains avec les copines. Et d'avoir pou meilleur ami un gay, de changer de copains presque tous les mois. Et de travailler chez Vogue, de voyager, d'exhiber sa garde robe et être au front row des plus grands défilés de mode. Ô rêves superficiels ! Mais que Gala compte vraiment réaliser un jour. Don't stop believing.

« Mon DIEU ! Tu as vu ces chaussures ? Elles sont ma-gni-fi-ques. » « Hum, ouai. Mais je préfère franchement les Miu Miu. Elles sont plus excentriques, non ? » Gala et Lucie passait la plupart de leurs cours (ennuyeux) à lire leurs magazines en cours, discrètement. Mais dès qu'elle voyait une robe de chez Lacroix ou des chaussures avec des talons de plus de dix centimètres, les deux adolescentes ne pouvaient retenir des exclamations. Oui, elles passaient pour des superficiels. Mais au moins, elles avaient la réputation d'être vraiment bien habillé. Bon, c'était souvent du H&M et Zara, mais tout de même... Et Gala adorait ce sentiment, celui de se savoir adulée parce qu'elle avait les fringues qu'il fallait. Et un porte-monnaie plus que vide, mais ça personne n'avait à le savoir.

Elle avait des goûts de petite bourgeoise, de luxe. La mode, à travers nombreux magazines, avait rendu Gala superficielle et matérialiste. Mais elle restait gentille et polie. « Maman, tu peux me donner cinquante euros, s'il te plaît ? » Question qui était devenue une habitude. Gala étudiante en journalisme, dépenser plus que ce qu'elle ne pouvait gagner avec son petit boulot de serveuse dans un café du centre de Rennes. « Et c'est pourquoi ? » répondait habituellement sa mère, suspicieuse que ce ne soit encore pour assouvir un désir de mascara ou de sacs.

Bonjour moi c'est .satine ou Clémentine (pour les intimes), j'ai dix-huit ans et je viens de normandie/île de france (ça dépend des week-end en fait, ahah), je pourrai venir 4j/7. J'ai connu le forum par BAZZART et je pense qu'il est hypramégasupra génialissime Finalement, si j'ai bien lu le règlement, j'ai pu voir que le code est code ok, svet